Allez ! Au boulot ! (libre)

Cela faisait maintenant deux jours entiers que Sunny était entrée dans cette ville. Il était plus que temps pour elle de chercher des renseignements. Pour cela, elle avait besoin d'un endroit fréquenté. Avec plein de monde. A chaque fois, elle devait surmonter l'ennui que lui procurait la foule. Elle arrivait bien à passer par-dessus cet ennui généralement. Elle s'engagea dans une rue où les boutiques et les restaurants ne manquaient pas. Sunny avait passer ces deux derniers jours à se repérer dans cette grande ville. Elle n'avait pas beaucoup dormi et n'avait pas beaucoup manger. Elle n'avait également pas de toit. Elle devrait se trouver un hôtel. Elle n'allait pas se protéger de la pluie avec des journaux éternellement. Ça n'était vraiment pas génial pour marcher. La pluie était assez énervante et un peu trop fréquente au goût de la jolie petite rousse. Enfin bref. Elle marchait tranquillement dans cette rue qui n'était que moyennement bondée. Elle passa devant un restaurant. Un grand bâtiment blanc, un peu crème. Une bonne odeur venant des cuisines passait par les fenêtres et portes pour finalement venir se balader sous le nez de Sunny. Ne pouvant résister à cette bonne odeur, elle qui n'avait que trop peu manger depuis deux jours, elle décida de manger un morceau. Son ventre criait famine. Elle franchit la porte du restaurant et atterris dans une immense pièce noire de monde. On distinguait à peine les tables. Comment trouver un endroit où s'asseoir pour manger au milieu de toute cette population ? Au moins, niveau information elle aurait du monde à interroger... Elle continua de balayer la pièce bondée du regard, cherchant inlassablement une place, même au côté d'inconnus. Elle se débrouillerait après... Elle voulait une place dans CE restaurant et pas un autre. Elle aurait ce qu'elle voulait.

La soirée avait commencé et ainsi on voyait les étoiles cachées par la violente averse qui ne me dérangeait pas. Au contraire, pour moi la pluie est le signe que cette planète pleure et qu'elle est vivante. Je traversais le grand champ de foire avec ses immenses manèges et ses sympathique odeur de gauffres. Sauf que je n'aimais pas les gauffres, je n'aimais pas non plus ce sentiment de joie qu'émanaient de toutes ses personnes attaché sur des siège mécanique. Lorsque je m'éloignais de cet endroit, je rentrai dans l'ombre d'une ruelle qui débouchait dans une avenue remplie de restaurant. Tout le monde marchaient éloignés. La majoritée me connaissais comme la calamité de ce monde par ma paleur de ma peau, de la couleurs très clairs de mes yeux, de ma large épée et de mon trou à la place de mon coeur qu'on voyait que sur un coté. Mon ventre gargouillé soudainement et je m'arrêtais regardant cet établissement bondé de gens. Je ne voulais pas attiré l'attention et entra dans la ruélle d'a coté qui donné aux cuisines. Je me rapprochais de cette odeur et lorsque j'entrouva la porte blindé en l'arrachant proprement je marchais alors dans les cuisines en goutant chaque sauce, chaque épice, emportant la viande et même des épinard qui me parû d'un gout délicieux. Et Soudain je me trouvais, mains et bouche garnis de nourritures, dans la salle principale où les gens mangeaient. Quelques personne ayant reconnus mon visage partèrent en courrant tandis que les autre, étrangé à cette ville, se demandèrent en eux qui j'étais avec des regards offensant. Il y' avait une fille au millieu de cet population, elle semblait pauvre mais pas une clocharde, Je marchais a son encontre en distribuant ce que j'avais pris dans les bras, cette nourriture qui semblait délicieuse, et je les distribua dans les siens avant d'ouvrir la porte qui menait a cette avenue principale :

- Tu paieras l'addition..

La petite rousse avait entendu du bruit dans les cuisines. Elle avait alors tourné son regard dans leur direction. Elle avait eu pas mal d'ennui ces derniers temps. La pluie, les gens... Elle était déjà assez agacée. De plus, elle était fauchée. Complètement fauchée, de bas en haut. Pas la moindre petite piécette dans les petits sacs accrochés à sa ceinture. L'agacement était déjà bien montrer par un seul petit détail : ses cheveux roux était attachés en une queue de cheval haute. Elle qui n'attachait ses cheveux que rarement. Elle n'attachait ses cheveux que pour montrer un ennui encore plus prononcé que d'habitude. Un ennui mêlé à un agacement trop grand. L'agacement qui était un mauvais présage chez elle. Elle eu un soupir, ne trouvant décidément plus de place. Du bruit dans les cuisines. C'était courant, non ? Il pouvait s'être passer n'importe quoi. Ainsi elle reposa son regard sur la salle. Des gens commencèrent à se lever et à courir vers la porte, la bousculant violemment sur le côté et s'enfuyant par la porte. Elle se remit aussi droite qu'à son habitude peu de temps après, prête à rattraper l'homme qui l'avait bousculer et à lui apprendre les bonnes manières mais en se redressant, un homme avait eu le temps de se poster juste devant elle et lui déposer de la nourriture dans les bras. Elle n'eut que très peu de temps pour réagir, suffisant pour poser la nourriture sur une table juste à côté et retenir Kaoru par le col alors qu'il allait faire un pas vers l'avenue :

- Et puis quoi encore ? Tu pense que JE vais payer pour de la bouffe que TU as prise ? Tu restes là et TU payes !

Lança la trop petite rousse, autoritaire en ramenant Kaoru dans le restaurant. Elle n'avait pas pour habitude de se laisser marcher sur les pieds. Surtout par quelqu'un qui l'agaçait.

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