Une arrivée? Quoi de plus classique...

Une jeune fille pénétra dans l'entrée qui menait à la ville. Elle dégageait une expression sombre et sinistre. Ses vêtements, entièrement noirs accentuaient encore plus la pâleur et la blancheur de sa peau. Son teint blafarde, faisant encore plus ressortir ses yeux d'une couleur rouge et son regard étrange. Un regard mélangés de toutes expressions, sinistre, effrayant mais curieusement doux. Comment une demoiselle qui dégageait une aura aussi ténébreuse pouvait avoir une once de douceur dans son regard? Venant d'arrivée, elle n'avait pourtant aucune valise, aucun bagage non plus. Si Akane n'avait pas d'affaires à sa portée, c'était qu'elle était partie sans prendre la moindre chose dans sa maison, entièrement détruite par les flammes à l'heure qu'il est... Mais ceci n'avait aucune importance, il devait certainement avoir quelques boutiques de vêtements dans la ville. Indépendante, elle comptait se débrouiller seule pour trouver les magazins dont elle avait besoin dans les différentes avenues. Aucune expression n'était visible sur son visage, comme si elle ne pouvait éprouver le moindre sentiment ou la moindre émotion.

*En priorité... Des vêtements...*

Fallait-il maintenant trouver la bonne direction, vu qu'aucun panneau n'était installé dans les environs. Puisqu'aucune direction était indiquée, autant les prendre une par une jusqu'à trouver la bonne. Akane aurait très bien pu prendre l'initiative de demander son chemin à quelqu'un. Mais ceci était impossible. Pourquoi? Car elle était sois-disant assez "grande" pour se débrouiller elle même. Car ils ne sont que d'insignifiantes personnes, ne méritant pas que l'on s'interessent à eux. Car elle les détestent, tous autant qu'ils sont. Qu'ils meurent ou qu'ils vivent, ça lui était égal temps qu'il la laissait en paix.

*De toutes façons, aucun humain n'oserait m'adresser la parole...*

Ce qui était bien évidement vrai. Akane ne connaissait pas suffisement les autres races pour connaître leurs points de vue. En tous cas, elle connaissait bien assez les humains pour savoir qu'ils avaient tous énormément peurs de la demoiselle.

Cette nuit là était agréable avec une brise qui raffraichissait encore plus le froid et degageait l'odeur de la vieille ville et sans savoir le pourquoi je me mit a marché vers la nouvelle ville comme si mes pied étaient controlé par quelque chose qui voulait ma presence dans cette ville. Mais ça c'est tout a fait impossible, ce n'était que moi j'avais envie d'un autre espace car les tenebres de ce pays m'ennuyais peu a peu. En face de moi, les portes de la villes s'étendait vers les cieux a quelques dizaines de mêtre du sol, j'étais toujours époustouflé des constructions des humains mais je ne les comprenais plus que ca. Je m'approchais de la rue manchande en passant par de multitude de ruelle interminable et non sure car à tous les coins sombre je pouvais tombé sur quelqu'un en train de braqué ou de tabassé un homme ou une femme et ça je ne voulais pas prendre partie pour aidé la race humaine, bien pire que toutes les autres les plus démoniaque. J'étais là, devant une vitrine où quatre télés étaient placées afin de faire profité commercialement le propriètaire. Mon regard se tourna vers une queue interminable vers une boutique de sucrerie, tous des enfants, je m'étais mis comme tous les autres je voulais voir ce qu'était attractif et lorsque j'attendis 5 à 10 minutes un homme interpella pour me demander mes papiers jusqu'a ce qu'il perdit patience en attendant que je parle. Je m'écarta de la file et me dirigea vers une autre boutique du même genre mais je m'asseya sur une chaise les bras croisés, comme si j'attendait quelqu'un et d'un geste de ma main déclenchais un incendie de l'enseigne de la boutique, là où de nombreux enfants atendaient.

- Tu me fatigues...

La nuit était quasi complète. L'obscurité n'était pas complète, grâce aux rayons de la lune qui éclarait faiblement les environs. Le vent venait souffler dans les cheveux noirs de la demoiselle. La partie libre de sa chevelure voletait par-ci, par-là, dominée par la brise légère. Akane commença à marcher dans les rues de la ville. Une démarche régulière, ses pas faisaient tous la même longueur, ce qui lui donnait un air encore plus mécanique. Son sinistre regard balaya les différents magazins. Tout les gens se trouvant autour d'elle, évitaient son regard et même parfois, s'en allaient plus loin l'air effrayé. Akane n'y prêta pas attention, elle avait l'habitude à présent... Soudain, elle s'arrêta. Tournant légérement la tête sur la droite, elle vit un groupe de personnes partir de la rue de droite. Ces personnes avaient la même frayeur que lorsque la jeune fille leur adressait la parole. Qu'elle était la chose qui les effrayaient autant qu'elle? Akane voulait le savoir. Marchant dans la direction opposée des autres, elle prit la rue de droite.
Arrivant enfin à la source du problème, Akane remarqua une pencarte en feu. Le reste de la boutique commençait à brûler. La demoiselle, nullement effrayée se placa devant la boutique et observa les flammes, comme s'il s'agissait de quelque chose de naturel.
Un humain était prisonnier des flammes dans le magazin, il n'avait certainement pas pu sortir à temps... Celui-ci suppliait quelqu'un de l'aider. Akane garda son expression neutre, insensible et regarda l'humain appeler désespérement à l'aide. L'humain remarqua la sinistre demoiselle et lui hurla de l'aider.

- Je n'ai pas à aider une personne aussi insignifiante que toi... De plus, tu es responsable de ta vie...

Sa voix était vide, résonnante, absente de toute émotion. Akane se retourna, sans scrupule et tomba nez à nez avec un homme. Il était le seul encore présent dans les lieux avec la jeune fille. Etait-il celui qui avait déclanché l'incendie? Quoi qu'il en soit, elle le fixa, toujours sans la moindre expression. Son regard glacial et impénétrable était plongé dans celui de l'inconnu. Akane resta silencieuse, jugeant inutile de dire le moindre mot. Pour faire parler la demoiselle, il fallait en général lui arracher les mots de la bouche.

Le ciel devenait de plus en plus noir, il ressemblait de plus en plus au tenebres. Les flammes éclaircissaient de plus la zone, normal car ces dernières venaient vers lui. Ce n'étais pas un danger pour un mort. Les cris d'une jeune femme, qui devait travaillé dans le magasin agonisait, presque morte à cause du monoxyde mais je m'en fichais. Mais, cependant, cela m'étais désagréable car plus on est nombreux plus on rit. J'entendait une jeune femme parlait, une voix froide comme ma peau, mes yeux étaient dirigé vers une vitre qui refletais la fille. Aucune peur émanait d'elle et cela devenait de plus en plus interessant et soudainement je percus son visage, d'une paleur déconcertante et des yeux de la même couleur que cette lune cachée par les nuages de fumées. Il m'avait fallut un certain temps avant de réagir aux cris de la femme qui devinrent muet et je leva ma main pas plus haut que ma tête et fermais le poing. Ainsi les flammes s'envolèrent comme par magie, disparues, la femme devait être morte car personne ne sortait du batiment et les secours s'entendait au bout de la ville. Lorsque je posa mon arme sur la table je me tourna d'un air curieux et froid, mon regard dans ses yeux rouges et pendant une minute je la dévisageait. Je me tourna sur ma chaise et posa mon menton sur ma main comme si ma tête pesait des tonnes en soupirant..

- Tu n'as pas l'air humaine, dis moi ?

Tout à coup, la femme qui était prisonnière des flammes surgit en rampant sur le sol brulé, j'étais extrèmement surpris et vexé. Je ne pensais pas qu'on puisse survivre a mes pouvoirs. Je me leva et me dirigea vers la jeune femme qui rampé jusqu'a mes pied supliant mon aide mais que disait-elle. Un rire surgit du plus profont de moi et un bruit d'os survint juste après, c'était le pied de Kaoru qui avait écrasée la tête de la femme contre le béton. Et puis partit vers la jeune femme toujours inconnue à ses yeux en balbutiant les mains dans les poche avec une démarche peu immitable :

- Saleté d'ange...

Une fois que la victime prisonnière des flammes sembla morte, l'inconnu stoppa l'incendie. Si il pouvait l'arrêter ça signifiait inévitablement qu'il avait des pouvoirs liés au feu. Puis le mystérieux homme dévisagea la demoiselle qui resta indifférente. C'est alors qu'il lui posa une question, question certainement inévitable...

- Effectivement, je n'ai pas l'air humaine... Car je ne suis pas humaine.

Sa voix était livide, glaciale, tout comme son apparence et son regard. Ses yeux ne dégageaient toujours aucune émotion. Presque à se demander s'il ne s'agissait pas réellement d'une machine. Alors qu'Akane fixait l'inconnu, elle entendit des gémissements. Il s'agissait de la femme qui agonisait dans la boutique. Pathétique... Elle rampait au sol et suppliait le jeune homme. Celui-ci répondit à son aide en l'achevant, dans un sourire sadique, d'une manière violente et peu courante. Akane resta impassible au bruit des os se brisant. Elle se contenta de regarder le macabre spectacle, sans aucune pitier, aucun tristesse, aucune haine. Une simple indifférence. Si cette personne était morte c'était qu'elle le méritait. Il s'agissait donc d'une ange? Akane n'avait encore jamais eut l'occasion d'en rencontrer. Devait-elle en déduire aujourd'hui que les anges sont faibles? Non par forcément... Il devait sûrement exister des exeptions. Alors que la demoiselle fixait le cadavre giser au sol, des bruits surgissèrent. Des policiers arrivèrent, signalant aux deux jeunes gens de se placer sur le côté et de mettre les mains sur leurs têtes.

- Non... Je n'ai pas envie d'écouter vos instructions... Personne ne m'oblige à quoi que ce soit... Surtout lorsqu'il s'agit de misérables humains comme vous...

Avec aucun tremblements dans le voix, elle fixa les policiers, d'une placitée déconcertante.

Je me remit a rire aux paroles de la jeune femme, c'était hilarant car même moi je ne pourrait le dire. Je restais neutre, bougant plus, me mit à plat sur le ventre contre le mur. La police s'approchait prudemment et ils avaient raison sauf qu'ils n'auraient jamais du s'approché puis je voulais voir ce que me caché cette fille aux cheveux soyeux aux couleurs de la nuit. Je m'étais fait vaguement une idée à son sujet et je tentais a de maintes reprise de faire peur à l'un des deux representant de la loi en fesant apparraitre puis disparaitre une boule de feu, tira a de maintes reprises dans le vide. Je jouais le jeu, fis semblant d'etre touché je ne bougeait plus et rigolais a l'interieur de moi-meme. Il n'y avait personne d'autre qu'eux et nous deux et d'impatience me releva en laissant tombé mon épée qui fit une vague secousse pour faire vibrée la ville. Cela faisait maintenant une heure qu'on était là au même endroit, les regardant se multiplier et ammené de grosse artillerie mobile. C'est vrai que les humains font de belle choses avec leurs mains cependant cela montre leur grande faiblesse. Je ne bougeait pas meme face aux impassibles canon, j'étais bien déterminé a voir ce que cette inconnue reserve.

- Impressionnée ?

Je ne pensais pas de ce que je disais aller la faire réagir car je pense qu'elle a constatée l'ampleur de ce combat. Je remettais ma meche en arriere car elle me genait meme si elle était comme ca depuis que jours.

- Ne pense pas que je t'aiderais, ce combat ne m'interesse pas...

Les policiers s'approchèrent des deux adolescents. Le jeune homme faisait semblant de céder ce qui ne fit ni chaud ni froid à la demoiselle. Ce qu'il faisait ne la regardait pas, et tempis s'il lui arrivait quelque chose... Tel était l'égoïsme d'Akane. Les policiers semblaient vouloir d'abord s'occuper de l'inconnu. Allait-il essayer de menotter la jeune fille après lui? Certainement... Enfin bref, ce moment n'était pas encore arrivé... Finalement, le jeune homme devint impatient et résista. Les humains armés jusqu'aux dents se multipliaient au fur et à mesure à cause de lui. C'est alors qu'il osa lui demander si elle était impressionée. Akane trouvait la question si ridicule et la réponse si logique qu'elle hésita même à y répondre, prenant cette question comme de l'ironie.

- Impressionée? Le jour où je serais impressionée par des humains n'existe pas et n'existera jamais...

Sa voix était à présent neutre, indescriptible. Akane n'était pas impulsive et ne s'emportait jamais face aux provocations... Encore heureux d'ailleurs, sinon, dans ce genre de situation elle aura déjà entamé le combat. La demoiselle écouta le reste des paroles du jeune homme.

- Ce combat ne m'interesse pas non plus... Mais visiblement, tu ne me laisse pas le choix de me salir les mains sur ces vulgaires humains... C'est en partie de ta faute.

Les policiers donnèrent le signal de tirer, les cannons se soulevèrent et des énormes projectiles venirent en direction des deux adolescents. Akane resta impassible, impénétrable.

- Dankû...

Un épais mur d'énergie se forma devant elle, la protégeant de toutes les choses pouvant la blesser.

*Vraiment... Que c'est ennuyant un combat contre des humains...*

Un autre policier venait a moi et me menotta si facilement, c'était fait exprés et d'un coup de tête donna un leger coup sur front. Ma peau eu une legere chaleur et lorsque je regardait les obus lancé par les canon j'en pris un air serieux tout en agitant mes bras et en répetant des incantation une aura s'échappa de mon corps puis explosa afin d'émettre une lueur et de leger flocons de neige. Tout s'était figé ormis la jeune fille qui avait toujours ce regard inchangé depuis que je l'ai rencontré il y'a bien une bonne heure. L'obus qui s'étais présenté a moi ne bougeait plus et si je n'avais rien figé qui c'est a quoi je ressemblerais. Je marchais lentement dans mes pas et les mains dans les poches, je regardais chaque visage et chaque armes qui me faisait nullement peur. En réflechissant je pourrais tous les tuer mais ce soir je voulais m'amusé et pas grave si cela est la dernière fois. Je revenais ainsi a l'emplacement ou je suis partis et pris mon armes qui avait affaissé le chemin bétonné, je la portait aisémant et je la replaca derrière mon dos. Lorsque je vis le pouvoir laché je baissa la tête d'un geste lent, le projectile m'avais frolé la nuque puis se dirigea vers le batiments derrière eux qui ne céda sous sa force et la déflagration. Retourné, je continuais ma route comme si rien ne s'étais passé et même si les balles sifflait pret de mon corps je ne changeais pas de direction.

- Je ne vais quand même pas me salir pour si peu..Ne trouve tu pas, partons..ou meurt ici...

Akane attendit la suite des événements, patiement, ne montrant aucun signe d'impatience. Elle se demandait comment le jeune homme allait se défendre de son côté. Celui-ci utilisa un sort qui immobilisa l'obus. La demoiselle resta neutre, nullement impressionée, nullement satisfaite. Il alla ensuite récupérer son arme. A cet instant, son sort s'annula et il faillit se prendre le projectile en pleine tête avant de l'esquiver de justesse. La jeune fille le regarda s'éloigner, ignorant les balles tirées par les hommes armés. Akane resta silencieuse, impassible et attendit qu'il finisse de parler. Mourrir? A cause de simple humains? C'était impossible aux yeux de la demoiselle... Cependant, il avait raison sur un point en ce qui concernait le fait de se salir les mains et de partir loin de ces ignobles créatures... La demoiselle s'éclipsa pour se téléporter près du jeune homme. Ne le regardant pas, elle tourna la tête de gauche à droite pour voir les boutiques.

*Ca tombe bien... Vu que les commercants sont partis, je n'aurais même pas à payer...*

Elle continua de marcher, ignorant la présence de l'inconnu à ses côtés.

La soirée semblait bien partie, la lune était revenue dans ce ciel toujours noir. La rue était éclairée par les coups de feu tirés par les soldats qui ne reussirent à blesser le jeune homme car les balles touchaient sa peau et explosèrent au contact de celle-ci. Cependant les hommes n'eu le temps de constatés et tirèrent des rafales encore plus violente. Dans ma tête je pensais a de multiples choses, des choses ininteressantes comme celle de ses humains et à la fin conclu, moi-même, que je ne devais les tuer que par la défense. La jeune femme me suivait depuis que j'avais tourné le dos à l'hostilitée venant des forces de l'ordre. Elle ne semblait pas savoir où aller et cherchée autre chose d'interessant, plus que les humains dont leurs vie sont faites d'arrogance et de mépris. Une détonation puis suivit d'une explosion à mes pieds, de la fumée, des éclats de brique et fragments de l'obus vena à me toucher. Je m'arrêtai à ce moment en baissant la tête et toujours le sourire sadique je me mordais le pouce à en faire couler le sang. Une, deux secondes puis je fis un tour sur moi-meme en écartant mes bras souplement et m'arreta devant les hommes qui nous tiraient dessus. La paume de ma main était dirigé vers les militaires et une masse d'énergie, d'une couleur rouge à l'interieur et un contour lumineux noir, venaient de partir tandis que les adversaires courraient à l'abris face aux dangers qui venait d'apparaitre. Une quantitée de débris vola en éclat et l'explosion en fut spectaculaire, j'avais bien dit que si c'était nécessaire j'attaqué et malheuresement, pour eux, j'ai contre-attaqué. Je ne savais combien de morts mais je ne pense pas que qu'un survivent ainsi à cela. Mes forces m'abandonnèrent apres cette attaque je m'appuyais sur un morceau de facade dont le reste s'envola par la force de la déflagration. Je respirais avec beaucoup de mal et avec l'aide du mur je reprenais le chemin comme je l'avais entrepris comme si il n'y avait rien derriere moi.

- T'inquietes pas ils n'ont pas souffert..

Edit : j'ai corrigé quelques fautes assez importantes.

Akane se téléportait de quelques centimètres à chaques fois que des balles menaçaient de la blesser. D'un geste mécanique et naturel, le fait qu'elle se téléporte comme ceci était devenue une habitude au fil du temps. Quand au jeune homme, il se défendait lui aussi à sa manière avec l'aide de ses pouvoirs. Cependant, il décida de contre-attaquer. La demoiselle le regarde prossèder à sa puissante attaque silencieusement. Une fois que la puissante masse d'énergie explosa et railla tout sur son passage, Akane resta toujours de marbre. Rien ne semblait l'impressionée, rien ne semblait l'agacer... Comme si aucune chose provenant de ce monde pouvait l'atteindre. C'était en quelque sorte le cas. Mais qui sait, personne ne savait de quoi l'avenir était fait, même si la jeune fille n'y croyait pas. L'inconnu semblait épuisé après avoir utilisé son étrange pouvoir, pouvoir que la demoiselle ne connaissait d'ailleurs pas. De quelle race pouvait-il provenir? Elle n'avait pas beaucoup de connaissance en ce qui concernait les races non humaines, pour être honnête, elle n'en avait jamais trop vu de sa vie. Pourtant, même par un pouvoir inconnu, son expression impassible ne disparaissait pas. La demoiselle répondit à la phrase du jeune homme, toujours d'une voix vide et innexpressive.

- Qu'ils ont soufferts ou pas, je m'en contrefiche... Et je ne m'inquiète pour personne.

Après avoir attendue quelques secondes, Akane reprit la parole, de ce ton sinistre et glacial, sans ne serait-ce jeter un seul coup d'oeil au jeune homme.

- Quel était ce pouvoir...?

Mon pouvoir semblait interessait la jeune femme, qui m'avait toujours pas révélé son identitée. De l'autre coté, plus un chat mais que néant, une fumée épaisse régnait maintenant sur ce quartier pourtant propre. Je n'avais toujours pas repris mon souffle, ce qui expliquait qu'a mes pas je poussais de fortes expirations suivient de sang. Mes veines ressortèrent et d'autre avaient éclaté ce qui fit des taches bleutées. J'ai été trop pret de ma limite car ce pouvoir était mortelle pour son utilisateur. Même moi je pouvait y passé a chaque fois que je poussé trop au maximum cette énergie. Ce n'étais pas mes seuls pouvoirs mais celui-ci est surement l'ultime de tout ce que j'ai. J'avais du mal à rattrapé la jeune fille qui prenait de la distance à cause du poids que je portais sur mon dos et de la fatigue que j'avais.

- Ce pouvoir s'appelle le Grand Rey Cero, une partie de mon sang se fragmente autour d'une couche de ma peau assez solide pour en contenir l'niterieur à mes risques et perils...

L'inconnu semblait ne pas se remettre très facilement de son pouvoir précédement utilisé. Même en marchant lentement, Akane distançait le jeune homme. Il se trainait à l'aide des murs pour pouvoir avançer. La demoiselle s'arrêta, pour pouvoir entendre ce que lui disait celui-ci.

*C'est donc un pouvoir dangereux, ce qui explique son état.*

Akane resta silencieuse, elle avait eut sa réponse, ça lui suffisait et elle s'en contentait. Le vent continuait de souffler, ni trop doucement, ni trop vivement ce qui faisait voleter doucement la mèche de cheveux noirs de la jeune fille. Le regard rivé devant elle, rien ne semblait la destabiliser. Ce qui était le cas. Les rues étaient désertes, à croire que les humains étaient pitoyables au point de ne pas remarquer tous de suite la mort d'un grand nombre d'eux. Avec toute la technologie d'aujourd'hui, il n'était même pas capable de détecter quelque chose d'aussi simple. Plus Akane en apprenait sur ces misérables créatures et plus elle les trouvaient faibles... Est-ce qu'il existait des humains puissants? C'était tous simplement irréaliste.